Édito de Franck Louvrier, Maire de La Baule-Escoublac

Vice-président du Conseil régional des Pays de la Loire

C’est avec beaucoup de plaisir et d’intérêt que La Baule-Escoublac accueille pour la deuxième année consécutive ces rencontres des Océanes Atlantique.

Ce laboratoire de réflexion s’intéresse en effet à un sujet majeur : quel avenir pour nos océans ?

Ici, dans notre ville-jardin nichée au bord de l’océan, c’est un sujet dont nous avons parfaitement conscience et sur lequel nous sommes très sensibilisés.

Le rapprochement des mondes terrestres et maritimes est pour nous une évidence et cela fait en effet longtemps que nous réfléchissons et agissons en ce sens.

Mais s’il n’est pas interdit de parler du développement économique des ressources des océans, toutefois l’enjeu est de faire prendre conscience au plus grand nombre que la mer est une immense source de richesse dont il faut prendre soin. 

Le Grenelle de la mer qu’avait initié le président Nicolas Sarkozy avait ainsi dressé le constat qu’il fallait protéger les ressources naturelles de la mer pour mieux les exploiter de manière durable. Par exemple, le choix n’est pas celui de pêcher ou de protéger, mais toujours de protéger pour mieux pêcher.

Notamment, il faut particulièrement travailler sur le lien entre la terre et la mer, le littoral, « cette délicate rencontre de la terre et de la mer ». C’est d’ailleurs une ambition portée par notre très maritime Région des Pays de la Loire qui, dès 2018, a mis en place une stratégie maritime régionale intitulée : « La Mer, une force et une opportunité pour les Pays de la Loire ».

Ensemble, protégeons notre double patrimoine maritime et marin !

Franck Louvrier
Maire de La Baule-Escoublac
Vice-président du Conseil régional des Pays de la Loire

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Édito de Dominique Robert

Co-directeur de l’IFQM

Les Océanes Atlantique sont une excellente occasion de rassembler des personnes et des organisations provenant de tous horizons, de part et d’autre de l’Atlantique, afin d’échanger sur des enjeux communs, de partager les savoirs et les meilleurs pratiques et ainsi mettent en œuvre des actions décisives pour le développement maritime durable.

Ceci rejoint la mission de l’Institut France-Québec maritime (IFQM), d’où l’importance de participer à cette initiative.

Dominique Robert
Co-directeur IFQM